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Technique de la semi-culture
La semi-culture, kesaco?
La semi-culture consiste à aider l'existant à se développer, cette technique concerne la carotte sauvage, l'achillée millefeuille, l'origan, le plantain, le serpolet, le millepertuis, l'églantier, le laurier noble, les rosa canina et de multiples autres espèces que nous accueillons uniquement pour le plaisir de développer au maximum la biodiversité sur nos terres, en étant persuadé que cela aide aussi notre rucher à se renforcer.
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Intérêts de la semi-culture selon différents points de vue:
nterêt pour la cueillette sauvage:
interêt pour le travail agricole:
interêt pour la biodiversité en général:
Projets:
Il y a aussi des espèces que nous souhaitons travailler sans qu'elles soient endémiques. Il s'agit alors pour nous de les multiplier et de les installer. Le bouturage concerne l'estragon, les lavandes, le romarin, l'hysope, la sauge et l'hélichrise.
Certaines sont développées par semi puis par semis naturel: la camomille matricaire et la sauge sclarée notamment, la mauve musquée aussi.
Conclusion: culture biodynamique, semi-culture sont des gages d'huile essentielle et d'hydrolats de la meilleure qualité:
La biodynamie est maintenant notre feuille de route agricole rejoignant nos reflexions sur une intervention positive de l'humain sur son environnement.
Abandonner son regard d'exploitant pour devenir cultivateur
L'ensemble de ces processus prennent du temps. C'est pourquoi entre la mise en culture et la mise en vente, quelques années peuvent s'écouler...
Projets encore plus lointains:
Nous envisageons d'étendre notre production en distillant le tilleul ainsi que de l'origan.
Les cultures de lavande arrivant à leur fin (bientôt 8 ans déjà ), nous sommes en plein réflexion quand aux nouvelles cultures à implanter. Entre autre pistes: l'estragon, la ciste ladanifère.... Faites nous part de vos idées....
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